Devenir parents est un sujet qui inquiète plusieurs jeunes. Car, tout le monde veut être à la hauteur afin de donner le meilleur patrimoine émotionnel aux enfants. Vous êtes peut-être parent et voulez changer vos relations avec votre progéniture ? Continuer la lecture de cet article pour découvrir comment y parvenir.
Qu’est-ce que la parentalité positive ?
La parentalité positive est un mode d’éducation actuel. Découvrez sur https://www.maternons.com plus d’astuces. Encore appelée éducation non violente ou parentalité bienveillante, la parentalité positive vise à communiquer autrement avec sa progéniture. Il s’agit en effet d’éviter, au maximum de reproduire sur son enfant l’éducation que l’on a reçue. L’éducation non violente consiste à apprendre à gérer les moments de tension sans être autoritaire ni laxiste avec son enfant. Il ne s’agit donc pas de préformer l’enfant, mais de l’accompagner progressivement dans son apprentissage et son épanouissement. Autrement la parentalité positive est un comportement qui met au-dessus de tout l’intérêt suprême de l’enfant. Loin d’être une éducation permissive, la parentalité positive instaure un cadre d’éducation assez sécurisé pour l’enfant.
Les principes de la parentalité positive
La pratique de la parentalité positive se base sur des principes fondamentaux. D’abord, elle est une éducation émotionnelle et affective. Car, elle doit répondre du besoin d’amour, d’affection et de sécurité émotionnelle pour l’enfant. Par ailleurs, la parentalité positive mise sur le respect de soi et de l’autre en créant un cadre et des règles de vie pour assurer la santé et la sécurité physiques de l’enfant. Mieux, elle met en avant l’empathie du parent. C’est-à-dire que le parent doit reconnaître l’enfant en tant qu’une personne à part entière. Ainsi, l’enfant est écouté, considéré et valorisé. La pratique de la parentalité positive impose au parent d’accorder des droits et libertés à l’enfant. Afin de permettre à l’enfant d’acquérir les compétences et un sentiment de pouvoir personnel en vue de son autonomisation. Le principe de base de la partialité est l’exclusion de toute violence et châtiment.